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Page:La Vrille - Le journal d’une masseuse, 1906.djvu/27

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CHAPITRE IV

OÙ MOSSIEU LA VRILLE S’ÉVITE UNE BESOGNE EMBÊTANTE, EN PUBLIANT SANS VERGOGNE AUCUNE, ET SOUS SON NOM, LE MANUSCRIT DE JULIETTE AUDÉOUD. LES LECTEURS APPRÉCIERONT.

Enfin seul !!!

D’une main fébrile (je te crois, si on me voyait !) je défais le paquet de paperasseries et un flot de poussière m’entre dans le nez.

Aaat… à vos souhaits. Merci ! trop de poussière ! (certain a dit quelque part : trop de fleurs). Je souffle à poumons que veux-tu et j’arrive enfin à rendre quelque blancheur à ce papier maculé.

Des feuilles et puis des feuilles jonchent ma table, ma belle table escultée. Il y en a de