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Page:La Vrille - Le journal d’une masseuse, 1906.djvu/38

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LE JOURNAL D’UNE MASSEUSE

un voyage banal et que, bientôt, je vous retrouverai, tous, tous, le jardin, les fleurs, les abeilles, la maison, père, mère, tout ce que j’aime.

D’ailleurs, ce n’est peut-être qu’un mauvais rêve, ce voyage. Est-il même question de partir ? Qui a dit qu’il fallait partir ?

Pauvre presbytère, hélas ! Demain, demain, à l’aube, une voiture m’emportera. Et je ne te verrai plus…

Ah ! tiens, adieu, adieu, adieu !