Aller au contenu

Page:Labé - Œuvres, t. 1-2, éd. Boy, 1887.djvu/365

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
139
NOTES.


P. 18, l. 24. — Jacques Pernetti, chevalier de l’Église de Saint-Jean, né à Chazelles-en-Forez vers 1696, mort à Lyon le 16 février 1777, d’après Breghot du Lut et Péricaud. C’était un de ces laborieux compilateurs d’autrefois qui ont commis quelques inexactitudes parce qu’ils ont beaucoup travaillé, mais dont quelques modernes redresseurs de torts sont les premiers à consulter les travaux. Les Lyonnais dignes de mémoire parurent en 1757.

Quelques années avant, C.-J. de Ruoltz avait lu à l’Académie de Lyon (août 1746) un Discours sur la personne et les ouvrages de Louise Labé Lyonnoise, imprimé à Lyon, chez Delaroche, en 1750.


P. 19, l. I. — Entre autres ouvrages, M. Monfalcon a écrit, avec toutes les apparences extérieures d’une vaste érudition, une Histoire monumentale (sic) de la ville de Lyon, 8 vol. gr. in-4o. Cette lourde, sèche et souvent inexacte compilation est magnifiquement imprimée.


P. 19, l. 5. — Voir, par exemple, dans les Œuvres romantiques de M. le vicomte de Chateaubriand avec une notice sur sa vie politique et littéraire et des nouvelles historiques servant d’annotations à ses ouvrages, par M. D*** de S. E***. Paris, chez les marchands de nouveautés, pet. in-8o, tome Ve, pp. 39 à 84.


P. 19, l. 24. — Paris, 1860, pp. 1637 et suivantes.


P. 20, l. I. — Déjà en 1831, dans ses Nouveaux Mélanges, Breghot du Lut avait indiqué dans Olivier de Magny un des plus grands admirateurs de Louise Labé. C’est lui aussi qui a découvert l’Ode à Sire Aymon et quantité de détails très menus, mais très intéressants, utilisés sans indication de source dans les notices publiées depuis. Il est à propos de se servir des recherches de Cochard, de Péricaud et de Breghot du Lut, mais il n’est pas moins à propos de les remercier de la peine qu’ils ont évitée à leurs successeurs.


P. 20, l. 28. — « C’est à peu prés tout ce dont la félicitent les poètes qui l’ont d’abord célébrée, » dit M. Blanchemain. Mais à