Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
POMPÉRY, bas à ALIDOR.
— Ne parlez pas. (Haut.) Cher ami, chantez-nous donc le troisième couplet.
ALIDOR.
— C’est fi… fi… ini.
MARIE, à BERTHE.
— Mais il est bègue.
(Elles rient toutes deux.)
MADAME POMPÉRY.
— Voyons, mesdemoiselles.
ALIDOR, à MADAME POMPÉRY.
— Ma… a… dame.
(Le rire la gagne aussi. Elles sortent toutes trois en riant.)
ALIDOR.
— Quoi !
MAURICE.
— Voilà… il ne fallait pas parler ; vous avez la rage de parler.
POMPÉRY, à ALIDOR.
— Mon ami, je crois que ce que vous avez de mieux à faire c’est de reprendre le train.
ALIDOR.
— Je suis stu… stu…
POMPÉRY.
— Non, je ne veux pas dire que vous êtes stupide.