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LETTRES 1881-1882
LV
À CHARLES EPHRUSSI
Bade, lundi [6 novembre 1882].
Cher Monsieur Ephrussi,
Ma vie a recommencé, m’a repris dans ses engrenages peu fiévreux. Je n’ai pour me consoler qu’une cire de Cros qui me sourit maladivement, adossée à la lampe. Puis des eaux-fortes de Chifflart (pour la plupart assommantes, mais révélant une âme michelan… gélique).
Je viens de lire des articles d’art dans la Gazette de Cologne. Un commence ainsi : « Der Geist sittenloser Selbstsucht, frivoler Aufgeblasenheit… etc., » (intitulé « Die franzœsische Schule »).
Un autre, sur les impressionnistes, parmi lesquels on met Roll, Gabriel Guay (avec sa Cosette), Gervex,