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Page:Laforgue - Œuvres complètes, t5, 1925.djvu/140

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ŒUVRES DE JULES LAFORGUE

CXIII

À ÉMILE LAFORGUE[1]

(Fragment.)

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Chez Bingham une Parisienne de Stevens, un chef-d’œuvre. — Chez Goupil probablement quelque Schreyer, probablement des rosses de quarante-cinq sous cachées par des rafales de neige. — À l’Art, une petite femme de Duez, regardant avec ses prunelles une voile à l’horizon, au bord de la mer. — C’est tout, je crois — On n’entend plus parler de Rochegrosse, on ne voit plus rien de lui. Quant à l’autre, Bigot, il collabore à une édition illustrée qu’on publie de Nana.

Tu sais peut-être que dernièrement il y a eu dans tout Paris des élections municipales.

Or voici une petite épopée.

  1. Fragment de lettre de Jules Laforgue à son frère Émile, communiqué en manuscrit par Mme Labat-Laforgue.