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Page:Laforgue - Œuvres complètes, t6, 1930.djvu/243

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bré — pêle-mêle — fait mes malles — couché — levé à 7 — tout expédié — lavé — rasé — vu Théo — parti avec Velten[1] — journée de paysage monotone avec le sifflement des poussières[2], plus nous allions, plus ça verdissait — troupeaux de moutons — Pâtres idiots (V. aux notes !!!)

Vendredi 20 [Bade]. — Levé à 8. — Rinçage effréné — écrit à [Charles] Henry — Promenade invinciblement poseuse dans les Lichtenthal — Une aquarelliste — Passé par la villa de [Maxime] du Camp. L’Impé[ratrice] d’Autriche et sa fille. dîné avec Artelt — travaillé — écrit à Théo — et envoyé quelques articles traduits à Planté à Mont-de-Marsan — cabinet de lecture. Peur des yeux bleus de chez Marx — soupe — thé — Ctesse Vistchoune ? [Vitzthum] lecture — relation sur Dresde. Le chambellan aux doigtiers d’argent.

Samedi 21. — Ce matin Yburgstrasse — lecture mer intérieure Roudaire[3] — Promenade folle

  1. Médecin de l’Impératrice Augusta. (Cf. lettres de Laforgue à Ch. Ephrussi. Lettres, IIe vol.)
  2. Mot douteux.
  3. Lecture à l’Impératrice de l’article du commandant Roudaire dans la Revue des Deux Mondes, sur le projet de mer intérieure pour faire revivre le Sahara.