froides — après la lecture — la Charité de Maxime du Camp.
(Écrit en marge dans le haut de la page) : La pierre à l’endroit où, en 1870, le roi de Prusse tourna le dos à Benedetti.
Dimanche 5. — Promenade en voiture le long des vignes de la Moselle — reçu l’Irréparable 1re partie, de Bourget. Je me suis rué dessus, je riais tout seul dans ma chambre, tellement chatouillé au tréfonds de mes impiétés Schopenhaueriennes — plus un paquet d’articles du Parlement[1].
Lundi 6. — La Csse Blumenthal — le soir toujours voiture Mayence chaussée — Le train qui passe — la barrière qu’on ferme — la petite église de l’Imp. où un paysan ne veut pas vendre la place d’un arbre — thé — princesse d’Arenberg et fille, Bruxelles — Elle cause avec Gélien, chauvinisme français, la Commune, une lourde et pédante personne — sans tact — l’Imp. lui répond : Je crains que si l’on donnait carte blanche aux dynamiteurs on en trouverait partout.
Mardi 7 ? — Xavier Marmier.
- ↑ Journal où écrivait alors régulièrement Paul Bourget.