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Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 1.djvu/242

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MÉDITATIONS.
COMMENTAIRE


DE LA VINGT-SEPTIÈME MÉDITATION




Cette Méditation est tirée des chœurs de ma tragédie de Saül, qui n’a jamais été ni représentée ni imprimée. J’avais écrit ce drame en 1818, pour madame de Raigecourt, qui m’engageait à faire pour Louis XVIII ce que Racine avait fait pour Louis XIV. Mais il manquait un Racine et un Louis XIV.

Les chœurs de Racine, dans Esther et dans Athalie, furent mon modèle. On voit combien je restai loin de ce grand maître en harmonie et en images.