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Page:Lambert - Le Mandarin.pdf/61

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LE MANDARIN.

reurs Yao et Chun, répétèrent les diplomates en souriant.

— Et le roi de Thsi un bien bon homme, ajouta un envoyé de Naples.

— La morale de cette histoire, reprit le mandarin sans prendre garde aux sourires, c’est que les rois qui ne se sentent pas assez de lumières pour gouverner leurs peuples doivent consulter les lettrés.