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Page:Lange - Histoire du matérialisme, Pommerol, 1879, tome 2.djvu/610

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zur Wissenschaft. Cet écrit est postérieur à un ouvrage historico-philosophique, de Twesten, récemment publié comme posthume et où l’auteur se déclare partisan du positivisme. Si l’on rapproche les déclarations de Twesten, page 2 de sa dissertation sur Schiller, on verra que, chez Twesten, Kant a remporté la victoire sur Comte.

2 [page 3]. Voir Dr M. J. Schleiden, Ueber den Materialismus der neueren deutschen Naturwissenschaft, sein Wesen und seine Geschichte. Leipzig 863. Une critique mordante, mais non injuste, de cet écrit parut sous le titre : M. J. Schleiden über den Materialismus, anonyme, Dorpat 1864.

3 [page 4]. Voir la préface de la 2e édition de la Kritik der reinen Vernunft. Il est certain que Kant y laisse entrevoir[1] qu’il se glorifie d’avoir pris, par le développement complet de la critique, le rôle que Newton avait joué, en prouvant, par sa théorie, la vérité de ce que Copernic, suivant Newton[2], n’avait émis que comme « hypothèse ». Mais pour avoir une première idée de l’essence de la réforme de Kant, ce qu’il y a de plus important est la comparaison avec Copernic énoncée dans la préface.

4 [page 7]. Voir Kritik der reinen Vernunft, transscendentale Methodelehre, 4, Hauptst. ; Hartenstein, III, S. 561.

5 [page 8]. David Hume, Von der menschlichen Natur, übersetzt von L. H. Jakob, Halle 1790 ; I, 4, 5 : Von der Immaterialität der Seele, p. 480. Voir The philosophical works of D. Hume, Edinburgh 1826, I, p. 315.

6 [page 10]. Von der menschlichen Natur, übers. v. Jakob, I, 4, 6 : Von der persönlichen Identität, p. 487 et suiv. — Voir The philosophical works of David Hume, I, pag. 319 et suiv.

7 [page 11]. Prolegomena zu einer jeden künftigen Metaphysik, die als Wissenschaft wird auftreten können, Riga 1783, p. 167 et suiv. ; Hartenstein, IV, p. 101 et suiv.

8 [page 12]. Prolegomena, 1783, p. 204. et suiv. Hartenstein, p. 121 et suiv.

9 [page 19]. La polémique des philosophes anglais sur l’apriorité dans la mathématique commença par l’attaque que Whewell, dans son Mechanical Euclid, dirigea contre l’opinion représentée par Dugald Stewart, suivant laquelle les éléments de la géométrie reposeraient sur des hypothèses. Un article de l’Edinburgh Review, écrit par Herschel, appuya l’opinion de Stewart. Whewell répondit dans sa Philosophy of thr inductive sciences, London 1840, I, p. 79 et suiv. dans la section :

  1. Note sur la page XXII ; Hartenstein, III, p. 20 et suiv.
  2. Histoire du Matérialisme, t. 1er, p. 478, note 55.