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Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 7.djvu/358

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Supposons ce qui donne et comparons séparément les parties réelles et les parties imaginaires de l’équation précédente. On a

or on a

étant un nombre entier ; on aura donc

Les valeurs correspondantes de sont

Maintenant devant être supposé égal à l’unité dans l’équation il faut choisir de manière que soit ce qui exige que l’on ait

étant un nombre entier que nous pouvons supposer nul ; alors on a

mais on a

la partie imaginaire du premier membre de l’équation est donc

Déterminons la partie imaginaire du second membre de l’équation On a