Aller au contenu

Page:Laroche - Fould - L Enfer des femmes.pdf/172

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Midi, puis les chefs-d’œuvre en ruine que l’Italie porte encore dans son sein, tout lui parlait un langage grandiose, divin ; mais elle ne disait plus rien, son extase était muette, sa pensée s’engourdissait dans une admiration profonde et passive. Elle se laissait envahir par ses sensations, faute de pouvoir les faire partager, et rejeter au dehors l’effervescence de son esprit ; elle finit par prendre pour un bonheur parfait une sorte d’abrutissement contemplatif.