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Page:Le Cadran de la volupté ou les Aventures de Chérubin.djvu/16

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couleurs, et à lui persuader que le trésor de la France peut, sans que le peuple en gémisse, fournir abondamment aux dépenses les plus outrées. Vous qui jugez les rois et les princes avec tant de promptitude, si vous vous figuriez tous les écueils qu’on sème sous leurs pas, ces flots d’adulateurs qui les obsèdent sans cesse, et qui sont tous interressés à les tromper, peut-être les jugeriez-vous avec plus d’indulgence et, même vous leur sauriez gré de tous les vices qu’ils n’ont pas ; mais je me surprends ici à faire l’éloge de la R… Ah ! je sens trop que je l’aime encore !