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Page:Le Cadran de la volupté ou les Aventures de Chérubin.djvu/60

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LA FAUTE
IMPARDONNABLE


Je revois Divine, et je ne suis plus transporté d’amour, le désir ne me précipite plus entre ses bras ; elle-même s’élance dans les miens, je l’y presse faiblement, et je soupire… Je recule autant que je le puis, ce moment qui jadis n’arrivait pas assez-tôt au gré de mes désirs impatiens ; enfin, il fallut agir comme si je le souhaitais. Les petits préliminaires qui, autrefois étaient l’ouvrage du moment, furent prolongés un assez long-temps ; je ne donnais que de faibles marques de sensibilité ; timide, presque tremblant, je n’avais plus cette fermeté qui m’avait acquis tant de jouissances et d’honneurs… Je me mis pourtant

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