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Page:Le Cadran de la volupté ou les Aventures de Chérubin.djvu/99

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naissance, mais… — Mais taisez-vous, dit-elle, petit idolâtre, en précipitant ses lèvres sur les miennes ; et ses baisers enflammés me coupèrent la parole, j’étais dans le délire, j’allais oublier que le moment de la volupté n’était pas venu… Y pensez-vous, dit-elle, en s’arrachant de mes bras ? voyons votre second, il est tems de lier connaissance. La duchesse à qui j’avais indiqué le cabinet, courut sur le champ avec une grâce enchanteresse en faire sortir mon prisonnier, et prenant le chevalier B… par la main, puisque votre ami vous a instruit de tout ce qui a rapport à nos amours, je n’ai point à craindre que le chevalier B… soit assez indiscret pour aller divulguer ma faiblesse, je lui demande son silence et son amitié. — Je vous promets l’un, ma-