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Page:Le Nismois, La Tunique de Nessus, 1900.djvu/216

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acres. Mohammed avait joui d’Olympe, il aperçut le cul d’Irène qui tressautait au-dessus des jambes de Déculisse ; il y vint tout contre, hésita entre la caresse et l’enculage ; ce dernier l’emporta et Irène se trouva prise des deux côtés à la fois.

Olympe, privée de son cavalier, tournoya du côté de Stanislas et Gabrielle ; celle-ci se pâmait sous la possession. Stanislas, distinguant le cul de sa sœur à sa proximité, se jeta dessus et l’encula, laissant Gabrielle se reprendre peu à peu.

Déculisse, gêné dans sa manœuvre, à moitié abandonné par Irène, qui se prêtait davantage à l’enculage de Mohammed, remarqua la solitude momentanée de Gabrielle, arriva prestement sur elle et, avant qu’elle eût résisté, l’enconna avec sa grosse queue, lui arrachant quelques cris plaintifs, qui se changèrent bientôt en ardentes caresses.

La fête se continuerait-elle dans les salons, ou se confinerait-elle à la chambre ?

Nul ne paraissait vouloir renoncer à la curée d’amour.

Un timbre qui résonna, rappela Irène à elle-même : quelqu’un se présentait. C’était le signal