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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/106

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Et je retombai anéanti par l’extase de la décharge, inondant son con délicieux au moment précis où elle-même laissait couler un foutre copieux et abondant. Ma tête reposait sur ses larges et magnifiques tétons qui palpitaient du bonheur donné et reçu. Dans ma jouissance amoureuse, je ne savais plus ce qui se passait autour de moi. Quand je repris mes sens, je ne remuai pas, mais restai englouti dans les replis veloutés de ce con superbe, ma propre pine rendant palpitation pour palpitation, ayant à peine perdu un peu de sa première raideur. J’entendais ma tante se dire tout bas à elle-même :

— Cher bien-aimé et délicieux garçon, jamais de ma vie je n’ai possédé une pareille pine et n’ai été aussi bien foutue. J’ai peur que le cher enfant ne se soit évanoui de plaisir et par la nouveauté de la sensation, mais son immense pine palpite encore délicieusement dans moi ; sent, pasteur, comme elle est encore raide dans le bas.

Je sentis le pasteur l’empoigner, la faisant, par cet attouchement, palpiter violemment.

— Le cher enfant est aussi raide que jamais. Aussitôt qu’il va revenir à lui, tu vas être foutue à nouveau. J’en suis heureux, car c’est délicieux de vous voir foutre, surtout de te voir opérée par une aussi énorme pine. C’est le plus grand plaisir que tu m’aies donné dans ce genre.

— Cela ne m’étonne pas, mon cher, car je n’ai jamais rencontré dans ma vie une aussi belle pine, et je n’aurais jamais cru que mon neveu, la pre-