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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/11

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nu. Elle semblait à peine la toucher, mais elle promenait ses doigts dans toute sa longueur, depuis le bas jusqu’à la tête, avec une délicatesse de toucher qu’aucune autre femme n’a jamais pu égaler.

L’effet était magique et invariable, quel que fut le nombre de fois que je l’eusse foutue avant.

Avec son tempérament passionné et son excessive lubricité, c’était pour elle un art très nécessaire. Elle avait une de ces natures lubriques qui peuvent facilement épuiser plusieurs hommes en même temps. À mon âge heureux, elle avait tout prêt sous la main un garçon qui pouvait satisfaire à tous ses désirs de toutes les manières ; la nature m’avait si bien doué sous le rapport de la vigueur que, chaque fois que miss Frankland me désira, elle me trouva prêt à répondre à son appel.

Il n’y a pas d’excès lubriques que nous ne mîmes pas en pratique plus tard. Nous satisfîmes nos passions par tous les moyens qui nous plurent et nous n’hésitâmes jamais à faire ce que nous nous imaginions qui pourrait stimuler nos désirs.

Elle fut surprise de mes aptitudes, se réjouit et se félicita d’avoir trouvé quelqu’un d’aussi charmant et d’aussi vigoureux, pouvant satisfaire sa nature si libertine.

Combien elle fut heureuse de croire qu’elle était la première à cueillir les fleurs de mon innocence, de rencontrer un élève aussi capable, qui devenait, en une seule leçon, un maître de l’art.

Plus j’expérimentais le sexe charmant, plus j’appréciais les sages conseils de ma première et tou-