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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/121

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elle-même sur ma pine bien raide, se coucha sur mon corps et je la pris dans mes bras. Le pasteur s’agenouilla derrière elle et ne perdit pas de temps pour s’enfoncer dans son joli et immense derrière ; nous courûmes alors une course doublement délicieuse, ma chère tante donnant le mouvement comme d’habitude et nous inondant par une chaude et délicieuse décharge avant que nous ne fussions prêts à faire couler dans son corps un double torrent de foutre, ce qui la fit décharger encore avec fureur et en poussant des cris de jouissance auxquels nous mêlâmes aussi les nôtres, et tous trois nous tombâmes anéantis par l’excès de volupté.

Quand nous reprîmes connaissance, le pasteur se retira, mais ma pine était aussi raide qu’auparavant. Ma tante commença alors un mouvement des plus délicieux au-dessus de moi, qui amena rapidement une nouvelle crise finale dans laquelle nous mourûmes de bonheur. Je sentais que le pasteur maniait gentiment mes couilles, pendant et après notre dernière course.

Lorsque par nos palpitations mutuelles il s’aperçut que nous étions prêts à recommencer, il pria sa femme de se lever de dessus de moi. Mais l’idée de me séparer d’elle et de n’avoir plus ses délicieuses pressions, me fit immédiatement bander affreusement, de sorte que lorsqu’elle se leva, on put voir mon énorme vit dans toute sa beauté.

— Quoi ! Encore, Charles ? dit le pasteur, ton membre est vraiment mal élevé. Ma chère, tu dois encore essayer de le soulager, mais place-toi cette