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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/137

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— Oh ! ma tante chérie, qui a un si beau con, est-ce que je te pine bien ? Remue le cul plus vite. Comme cela, c’est ça ! Sens-tu ma pine jusqu’aux couilles de ton con délicieux ? Oh ! quel plaisir tu me donnes !

Elle répondit dans le même style. Passant sa main en dessous, elle pressa mes couilles et me demanda si de les serrer ainsi, cela me faisait du bien.

— Oh ! oui, mon amour, ton con, ton cul, tes tétons, tout est délicieux. Oh ! je n’aurais pas cru qu’on pouvait ainsi augmenter les plaisirs de la fouterie en prononçant des mots cochons.

Nous étions tous deux tellement excités par ces expressions ordurières et obscènes, que nous déchargeâmes dans un excès de la plus grande jouissance et nous tombâmes anéantis et entièrement rassasiés par ce dernier coup si délicieux et si adorablement voluptueux. Il était temps de finir. Me glissant encore entre ses cuisses, j’enfonçai ma figure contre son con gluant, couvrant de foutre ma bouche, mes lèvres, mon nez et mes joues. Elle m’attira alors vers ses lèvres et me lécha comme un chien.

Réparant alors le désordre de notre toilette, nous retournâmes à la maison et trouvâmes le pasteur qui nous attendait avec impatience. Nos figures rouges et enflammées lui démontrèrent que nous nous étions livrés aux plus grands excès. Il plaisanta ma tante sur son habileté à soulager mes attaques de raideur si fréquentes maintenant.