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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/18

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— Eh bien ! c’est à mon tour de jouir, maintenant. Touchez, comme elle a besoin d’être soulagée.

— Oui, oui, la bonne chérie, enfonce-la vite, mon Charles, et tu verras que je jouirai du cher Charles aussi bien que d’Henry, dont je te parlerai un jour. Tu es digne de lui et de moi, et j’ai peur de t’aimer autant que je l’aime, c’est-à-dire beaucoup trop tendrement.

Se mettant alors à l’ouvrage, elle exerça vraiment toute sa puissance de lubricité, et nous tirâmes un coup comme il est rarement donné aux mortels d’en tirer d’aussi délicieux sur terre.

Nous restâmes épuisés par le plaisir de nos désirs satisfaits et, ayant tous deux à satisfaire un besoin naturel, nous fûmes obligés de nous lever pour nous soulager. Ma chère maîtresse se servit du bidet et me dit de laver mes parties dans la cuvette, parce que, non seulement cela rafraîchissait, mais ça rendait plus vigoureux.

Puis, comme il faisait tout à fait jour, elle me permit de la faire poser et de la tourner dans toutes les positions, de façon à ce que je puisse admirer et peloter toutes les parties de son corps si ravissant.

Son derrière était plus large et plus dur qu’aucun de ceux que j’eusse vus jusqu’à présent, et vraiment, excepté un dont je vais bientôt parler, c’était le plus beau comme formes et comme grosseur que j’aie rencontré depuis.

Naturellement, tout ce pelotage ne s’était pas