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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/191

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Je sentis à la raideur de son jeune vit que la crise approchait de sa fin, je chatouillai avec la main ses couilles engorgées et je pressai un doigt contre son trou du cul, mais sans le faire entrer plus loin que l’ongle, quand subitement il éjacula son foutre dans ma bouche.

J’en avalai immédiatement la plus grande partie, laissant le reste pour lubrifier sa pine encore toute frissonnante de plaisir.

Pendant quelques instants, il resta étendu sur le dos, les yeux fermés, se délectant aux jouissances que lui faisait éprouver ma bouche, qui garda encore quelques minutes son vit prisonnier. À la fin, il ouvrit les yeux. Il faisait tout à fait jour, et lorsque je relevai la tête, ses yeux furent tout à fait surpris en apercevant son compagnon d’école au lieu de la jeune et jolie Ellen qu’il s’imaginait devoir être près de lui.

Pendant une ou deux minutes, il ne put parler, tellement il était consterné, jusqu’au moment où, m’emparant de son joli petit vit, je lui demandai si je ne lui avais pas donné autant de plaisir que sa chère Ellen lui en avait donné précédemment.

— Est-ce vous ? et Ellen ! comment savez-vous quelque chose au sujet de ma cousine ?

— Votre cousine, dites-vous ? Je n’en savais rien, mais, quand je suis arrivé, vous rêviez à elle et vous murmuriez dans votre sommeil les délices qu’elle vous avait fait éprouver en vous suçant la pine ; aussi j’ai imaginé de vous faire sentir le plaisir véritable et de faire de votre rêve une réa-