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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/193

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vements convulsifs, il éjacula une plus copieuse quantité d’essence de Vénus et, comme auparavant, j’avalai tout avec volupté.

Il resta bien plus longtemps que la première fois insensible du plaisir éprouvé, continuant à faire tressaillir sa pine à moitié raide dans ma bouche qui, à son très grand plaisir, la pressait et la suçait toujours. À la fin, il se leva et m’ouvrit ses bras : je m’y précipitai et nos bouches se rencontrèrent dans un baiser délicieux ; j’enfonçai ma langue dans sa bouche, l’engageant à faire de même et nous échangeâmes des baisers charmants, la nature ayant d’un seul coup achevé son éducation amoureuse.

Je commençais à être terriblement excité malgré le dur travail que j’avais fait la nuit, et ma pine, aussi dure que du fer, se pressait contre son ventre. Subitement l’idée lui vint de me gratifier de la même manière que j’avais faite pour lui. Il me le proposa, me priant de me coucher sur le dos. J’accédai aussitôt et, relevant ma chemise, je fis voir dans toute sa gloire mon monstrueux saucisson.

— Mon Dieu ! s’écria-t-il, quelle immense pine ! elle est bien plus grosse que celle du pasteur !

— Oh ! est-ce que tu as déjà vu celle du pasteur ?

Il rougit, mais avoua le fait. Je lui fis raconter ce qui s’était passé, je le savais déjà, mais j’étais enchanté d’en avoir connaissance par lui-même en voyant les immenses proportions de ma pine.