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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/204

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mouvements du jeune homme dénotèrent les passions de luxure qui le possédaient ; alors le pasteur accéléra ses mouvements. Je branlai avec rapidité et fureur, et au bout de quelques minutes, ils s’évanouirent tous deux dans un excès de joie et de délices sauvages.

Quant au jeune Dale, ses sanglots et ses cris sauvages prouvèrent qu’il avait éprouvé une volupté presque trop intense pour lui.

Le pasteur, fermant les yeux, avait laissé tomber sa tête sur ses épaules, heureux d’avoir le premier ravi les fruits de ce magnifique derrière, et je pouvais voir par ses mouvements convulsifs, sa façon de tenir contre lui, en crispant ses mains aux hanches, le corps charmant de Dale, aussi bien que par les soupirs qui s’échappaient de son sein, combien son triomphe avait été délicieusement exquis.

Peu à peu, sa pine débanda et cependant quoique molle et inerte, quand elle sortit, ce fut avec un grand bruit, pareil à celui d’un bouchon de Champagne qui saute, montrant ainsi combien étaient resserrés les lieux qu’elle venait de parcourir. Le pasteur ne permit pas au garçon de se relever avant d’avoir encore caressé et embrassé le derrière qui venait de lui procurer de si voluptueuses sensations ; puis, l’attirant sur son sein, il l’embrassa très tendrement et le remercia pour la manière héroïque dont il avait supporté l’attaque et lui dit qu’à l’avenir il n’éprouverait plus de