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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/244

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donc belle femme ! Je ne pouvais pas m’arracher de là, et je restai jusqu’au moment où, nus tous deux, vous arrivâtes à la grande scène. Le superbe con poilu de ma mère, ses jolis tétons et son derrière, me rendirent presque fou de désirs ; je l’aurais certainement violée si j’avais été seul avec elle. Quelle superbe énergie quand elle tira son coup. Je n’y tenais plus et me ruai aux côtés d’Ellen. Elle était endormie. Je la pris dans mes bras et la réveillai en lui caressant son ravissant petit con. Elle ouvrit les yeux et, pensant que c’était maman, elle se retourna pour lui rendre la pareille, et s’écria, en trouvant sous sa main mon vit bien tendu :

— Ah ! mon cher Henry, comment es-tu venu ici ? Maman va sûrement nous attraper !

— Oh ! non, mon amour, maman a autre chose à faire, elle s’est glissée dans la chambre à Charles pour se faire faire ce que j’ai l’intention de te faire moi-même.

— Elle était trop effrayée pour me croire, je fus obligé de la conduire à votre porte. Je regardai d’abord moi-même et vis que vous étiez encore après. À ce moment, maman t’entourait le corps de ses bras et de ses jambes, ce qui me permettait de voir aller et venir ton immense pine qui s’enfonçait avec une vigueur extraordinaire. Je murmurai à Ellen de regarder à son tour ; pendant qu’elle regardait, je me baissai, m’assis par terre et me mis à la gamahucher ; elle déchargea pres-

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