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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/253

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Je savais qu’elle n’en avait pas eu beaucoup, mais je voulais la mettre sur ce terrain et lui faire raconter à elle-même ses sensations, étant bien déterminé à ce qu’elle me fasse ses confidences. Elle me répondit qu’à la vérité elle n’avait éprouvé que de la souffrance, et qu’elle n’aurait jamais permis à Henry de faire ce qu’il avait fait, si elle avait connu le mal que cela faisait, elle avait été déçue en voyant comment sa tante pouvait éprouver de jouissances avec une affaire considérablement plus grosse que celle d’Henry.

Je souris à son allusion à l’énormité de ma pine, m’imaginant bien que sa curiosité lui ferait bientôt désirer de la voir. Je lui répondis que c’était mieux pour elle de n’avoir eu, pour la première fois, qu’un petit morceau, mais que maintenant elle ne souffrirait plus, même en s’enfilant une saucisse aussi grosse que la mienne.

— Oh ! quand je pense à l’immense grosseur de la vôtre, je ne puis m’imaginer comment vous osiez, quoique ma tante parût en éprouver un grand plaisir, la pousser dans elle avec une telle vigueur.

— Ma chère Ellen, c’était justement son énorme grosseur qui a tenté maman, et si elle n’avait pas été plus grosse que celle d’Henry, je ne pense pas qu’elle serait venue me rejoindre la nuit dernière.

— Mais comment a-t-elle osé se conduire ainsi ?

— La curiosité de jouir d’une pine d’une grosseur peu naturelle, ma chère.