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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/275

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dant que je me ménageais pour une autre fouterie.

Lorsqu’elle eut terminé, elle s’affaissa sur mon sein ; je passai un de mes bras autour de sa taille tout en suçant le téton qui était le plus près de ma bouche, puis, contournant mon autre bras, je portai ma main au délicieux petit orifice de son derrière, ayant d’abord mouillé mon doigt avec le foutre qui coulait entre les lèvres de son con et ma pine toujours raide et enfilée. J’enfonçai mon doigt dans son trou du cul et le fis aller et venir à sa grande satisfaction. Elle s’écria dans un excès de jouissance :

— Oh ! mon cher enfant, tu fais juste ce que me faisait mon cher époux ; cela me faisait bien jouir, mais pas autant qu’avec toi, car ta pine est deux fois plus grosse que la sienne et me comble d’un plaisir qui surpasse de beaucoup celui qu’il me donnait.

Tout cela finit par une décharge générale où nous poussâmes tous deux des cris de jouissance indescriptible ; nous restâmes presque évanouis et sans force jusqu’au moment où je la priai de se retirer, car le poids de son corps me fatiguait. Nous eûmes alors ensemble une longue causerie sur l’amour. J’amenai la conversation sur ses craintes du matin d’avoir un enfant. Je lui fis remarquer qu’elle n’avait eu qu’un enfant avec son mari, quoiqu’ils eussent vécu ensemble pendant plusieurs années après la naissance d’Henry, et comme elle n’avait pas cessé de jouir de son mari, il