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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/277

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— Oh ! chère maman, laisse-moi aussi te foutre de cette manière, comme cela au moins nous n’aurons pas d’enfants.

— Mon cher enfant, il est tout à fait impossible que cette monstrueuse pine puisse entrer dans un petit orifice, mon époux ne l’avait pas moitié aussi grosse que toi, et il éprouvait beaucoup de difficultés, à moins que je n’eusse déjà déchargé trois ou quatre fois, ce qui dilatait un peu cet endroit. Je n’oserais même pas de te laisser essayer.

— Oh ! si, maman chérie, laisse-moi seulement entrer un peu du bout, simplement pour y décharger.

J’aimerais tant d’essayer ; nous allons d’abord tirer deux ou trois coups, puis après le troisième, je te ferai décharger la première en te branlant et alors je serai tout prêt à introduire un petit bout juste pour que tu puisses savoir ce que tu éprouveras.

— Mais, mon cher enfant, le moindre mouvement de ma part le délogera, si tu n’as pas entré au moins toute la tête, mais regarde seulement quelle grosseur elle a ; je puis à peine l’empoigner et quoique très douce à toucher, elle est cependant aussi raide que du fer. Oh ! mon cher garçon, laisse-moi l’embrasser, et ensuite fous-moi à nouveau, mon chéri !

Elle se pencha et me suça délicieusement, puis s’étendant sur le dos et ouvrant ses magnifiques cuisses, elle m’invita à la monter. Avant de le faire, je me penchai aussi pour sucer son charmant