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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/91

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elle aurait tout le temps et les facilités voulues pour arriver à un rapide résultat. J’écoutais avec une grande attention apparente, mais comme on le sait déjà, j’étais déjà un élève savant dans l’art qu’elle voulait d’enseigner, grâce aux admirables conseils de ma toujours aimée et réellement première initiatrice, la charmante madame Benson.

Mais je ne pouvais m’empêcher de reconnaître combien ces deux admirables femmes connaissaient bien le monde avec lequel elles étaient aussi désireuses que je me familiarise.

La nuit suivante, mon oncle et ma tante se couchèrent tranquillement, le pasteur déclarant que ses excès de la nuit précédente l’empêchaient de recommencer cette nuit. De sorte que je ne pus jouir que de la vue des magnifiques beautés de ma tante qui produisaient toujours un effet merveilleux sur mon vit si excitable ; aussi, lorsqu’elle eut éteint sa lumière, je grimpai dans la chambre de mes sœurs où je savais pouvoir éteindre le feu dont ma pine était embrasée.

J’arrivai plus tôt qu’elles ne m’attendaient et les trouvai toutes trois ne formant qu’un seul corps, mes deux sœurs se gamahuchaient mutuellement pendant que miss Frankland enculait Marie avec son clitoris. Par hasard, elles ne m’entendirent pas ouvrir la porte, et j’attendis patiemment jusqu’à ce que la crise finale eût amené une délicieuse et générale décharge. Frappant alors mes mains l’une contre l’autre, j’applaudis en disant :

— Bravo ! Bravo ! Encore ! Bis !