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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/102

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rière. Elle se tourna elle-même de tous côtés, heureuse de voir que je l’admirais avec conviction.

Elle s’étendit alors sur le dos, écartant bien les cuisses, et m’appela pour monter sur elle et l’enfiler.

— Il faut d’abord que j’embrasse ce magnifique con et suce ce superbe clitoris.

Son mont de Vénus était couvert de poils épais, soyeux et de couleur marron ; son con était large avec de grandes lèvres épaisses entièrement couvertes de poils de chaque côté. Son clitoris sortait raide et rouge d’au moins trois pouces de long ; je le pris dans ma bouche, le suçai et branlai son con avec mes doigts qui entrèrent avec la plus grande aisance, mais qui furent étroitement serrés aussitôt qu’ils eurent pénétré ; je suçai et branlai jusqu’à ce qu’elle déchargeât en poussant des cris de voluptés. Je continuai de sucer et de l’exciter, ce qui la fit bientôt crier :

— Oh ! cher monsieur, venez et enfoncez votre énorme pine dans mon con avide et qui n’en peut plus.

Je lui sautai dessus et la lui introduisis jusqu’à ce que nos poils se frottassent les uns contre les autres. Elle me tint serré contre elle pendant une minute, puis elle commença à manœuvrer du cul comme une bacchante sauvage en poussant des exclamations voluptueuses et ordurières.

— Enfonce-moi bien ta grosse pine ! plus vite ! plus fort ! oh ! tu me fais mourir de bonheur !

Elle connaissait à fond l’art de foutre, me pro-