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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/111

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dant que le comte lui mettrait dans le cul sa jolie pine, mais pas aussi grosse que la mienne.

La pine du comte était presque aussi longue que la mienne, même plus large vers les poils, mais allait en se rétrécissant jusqu’au bout, de sorte que pour l’enculage il avait de bien plus grandes facilités que moi avec mon énorme tête de pine en forme de massue. Cette différence de conformation engagea nos deux créatures à préférer ma grosse pine par devant pendant que le comte occuperait avec la sienne plus effilée les derrières.

Elles se placèrent pour cela entre nous deux, moi dessous et le comte dessus elles. Quoique au commencement ce fût un peu douloureux quand mon gros vit prit place dans leur derrière, elles s’y habituèrent vite, mais pour commencer elles préféraient toujours avoir la pine du comte dans le cul.

La Egerton, comme je l’ai dit plus haut, fit son premier essai de deux pines à la fois, pendant que j’étais sous elle. Je m’étais couché sur le dos et elle s’était allongée sur moi ; la Benson réclama la faveur de diriger les deux instruments de plaisir et, suçant d’abord ma pine, elle la guida vers le con délicieux de son amie, qui se laissa tomber sur mon membre droit et raide, s’empalant délicieusement elle-même et déchargeant le plus copieusement dès qu’elle sentit l’énorme tête arriver jusqu’au fond ; elle se leva et s’abaissa sur elle de la manière la plus passionnée jusqu’à ce qu’elle émît une deuxième décharge, ce qui l’amena à une telle rage de luxure que, se lais-