Aller au contenu

Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/145

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
122


mirent de la faire décharger sept fois, jusqu’au moment où elle n’en voulut plus, spécialement lorsque tous deux, arrivant ensemble à la crise finale, nous l’inondâmes d’un torrent de foutre. Quand nous reprîmes nos sens, nous soulageâmes la Nichols des cargaisons que nous avions logées dans ses ouvertures.

Elle m’étrangla presque dans ses étreintes pour les immenses jouissances que je lui avais procurées ; se tournant un peu de côté, elle attira à elle Mac Callum et l’embrassa avec passion pour le remercier des voluptés intenses qu’il lui avait fait éprouver.

Après nous être lavés avec l’eau froide pour nous rendre un peu de vigueur, nous nous rafraîchîmes de nouveau, car nous avions besoin de nous restaurer. Alors, Anne prit position à son tour, car, elle aussi, désirait expérimenter la double jouissance avec la plus petite pine dans le cul,

La Nichols, se sentant anéantie pour un moment, se coucha sur le sofa pour jouir de la vue de trois personnes dans le délire et la rage de la lubricité et de la sodomie. L’épreuve enchanta la jolie Anne aussi puissamment qu’elle avait enchanté la tante. Elle aussi déchargea sept ou huit fois avant de nous rejoindre dans notre seule mais épuisante décharge.

La Nichols était restée tranquille pendant environ les deux tiers de l’opération ; elle s’était alors levée pour se mettre sur Anne et moi, afin de se faire gamahucher par le comte son large et magni-