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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/147

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ment qu’à la fin juillet. Pendant ce temps, ils occupaient un appartement au coin de Hyde Park.

Quand ils furent alors complètement installés, ce qui n’arriva pas avant le milieu d’août, mon tuteur désira que sa femme envoyât tous les dimanches matin la voiture chercher mes sœurs à la pension. Apprenant qu’Ellen était leur amie intime, il la comprit dans l’invitation. Ceci mit fin à nos orgies du dimanche au logement de notre ami Mac Callum, à notre grand regret à tous.

Quant à ce qui nous concernait Henry et moi, la délicieuse Frankland, qui ne nous oubliait pas, venait à notre secours. Prétendant que les jeunes filles devaient prendre de l’exercice en marchant, elle proposait toujours, après le lunch, de faire une promenade jusqu’au logement de leur frère, de prendre Charles et Henry comme compagnons au jardin zoologique ou au Kensington, et de rentrer tous pour dîner chez monsieur Nixon.

Mon tuteur avait l’habitude de toujours faire la sieste le dimanche, après le lunch, car étant trop vieux pour foutre sa femme toutes les nuits, le samedi soir ou plutôt le dimanche matin, quand il n’avait rien qui l’ennuie, il consacrait une heure ou deux à satisfaire sa femme adorée. Elle me dit qu’il était très amoureux d’elle, qu’il ne pouvait pas la foutre beaucoup, et que les efforts qu’il faisait pour cela étaient au-dessus de ses forces pour son âge, mais qu’il ne se lassait pas de la gamahucher et de la faire poser toute nue dans toutes les attitudes possibles ; naturellement, elle