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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/186

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attaque, la fis décharger aussitôt que ma pine fut entrée jusqu’aux couilles, me donnant en même temps avec le con un serrement qui pouvait rivaliser avec ceux de ma petite femme bien-aimée.

Elle était une si bonne fouteuse que je la foutis trois fois avant de déconner.

En comparant ensuite nos actions, j’appris que le fouteur de ma femme lui en avait fait tout autant, et quoique n’ayant pas une pine pouvant satisfaire un con aussi bien que la mienne, la variété et la nouveauté avaient donné un charme extra qui fit qu’elle ne s’était pas aperçue de la diminution du volume.

Nous étions donc tous ravis du changement de partenaires ; une connaissance faite aussi délicieusement devint une bonne amitié et un changement constant dans les agréables raffinements de la volupté, comprenant toutes les variétés de gamahuchage et de double jouissance pour tous.

Nous vînmes tous ensemble pour regarder l’enculage entre deux hommes, car le vieux bordel du numéro 60 de la rue de Rivoli était spécialement connu pour ces sortes de rendez-vous. Je fis d’abord une première visite tout seul pour me rendre compte si cela valait la peine d’être vu ; j’eus une entrevue avec la vieille maquerelle, une femme d’un certain âge aux formes masculines, qui avait dû être fort désirable quand elle était jeune, car même maintenant beaucoup d’hommes fréquentant sa maison, se finissaient dans ses charmes très développés. Elle avait l’habitude,