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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/193

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portes ouvrant sur de petites chambres voisines de la chambre d’opération, je devinai leur destination. Ayant essayé d’en ouvrir une, la maquerelle, très alarmée, saisit violemment mon bras, en disant :

— Vous ne devez pas entrer là !

Je souris en disant :

— Oh ! je comprends, allons-nous-en.

Quand je fus à nouveau dans son sanctum, je lui dis :

— Je vois que vous avez eu des voyeurs qui regardaient l’opération, aussi c’est heureux que j’aie résisté à me joindre à eux, mais la découverte que je viens de faire que vous avez des trous tout prêts simplifie mon projet. Je suis venu ici pour raconter les effets d’une scène de sodomie. Un de mes amis un peu épuisé a besoin d’un tel stimulant pour pouvoir foutre une femme qu’il désire posséder et qui est ma maîtresse. Maintenant il se trouve que je désire aussi beaucoup moi-même foutre sa maîtresse et nous avons conclu un pacte que si cette scène l’excite assez pour le rendre capable de foutre, nous viendrons chez vous pour voir, et pendant qu’il foutra ma maîtresse, je foutrai la sienne. Je suis très explicite parce que je veux que vous sachiez quel est mon but véritable. Je suppose que les voyeurs d’aujourd’hui sont partis, aussi faites-moi visiter les chambres afin que je puisse juger si elles me conviennent et choisir celles qui seront le mieux appropriées à mon projet.