Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/214

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sant encore pendant quelque temps de la langueur qui suit la crise finale, jusqu’au moment où ma femme nous demanda de la soulager du poids de nos deux corps. Nous nous levâmes et nous purifiâmes ; je le fis aller poser debout devant moi pour admirer les formes vraiment sculpturales de son admirable corps. Je suçai sa pine jusqu’à l’érection et lui dis alors qu’il devait me faire éprouver le plaisir du milieu, qu’il avait reconnu lui-même être le plus grand et le plus ravissant plaisir qu’il eût jamais ressenti.

Ma chère femme était enchantée. Elle se mit à genoux, j’entrai dans son con délicieux d’un seul coup et je logeai rapidement dans mon cul la pine de Carl.

Nous tirâmes un premier coup délicieux, puis ensuite un second avec le changement de ma pine dans le cul de Florence au lieu de son con. Carl fut alors obligé de nous quitter, car le jour arrivait.

Je le rendis le plus heureux des hommes en lui disant qu’aussi longtemps qu’il mettrait son cul à ma disposition, il pourrait jouir de ma femme autant qu’il voudrait.

C’est ainsi que nous nous étions procuré une nouvelle et superbe pine pour nos orgies générales. Nous racontâmes aux Grandvit notre heureuse trouvaille.

Monsieur fit d’abord des difficultés parce que c’était un domestique, craignant que par son indiscrétion on ne vienne à connaître nos orgies ;