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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/228

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décharge de son fils avait bien lubrifié le passage, elle ne put bientôt plus maîtriser ses passions, elle le seconda avec un talent qui ne laissait rien à désirer. La longue privation lui fit faire des efforts inaccoutumés, et il la foutit cinq fois sans déconner.

Quand elle s’assit à nouveau, elle lui dit :

— Oh ! Ferdinand, qu’as-tu fait ? Comment as-tu pu faire cela ? Violer ta mère ! C’est horrible !

Le pauvre comte, en voyant sa mère si désespérée, fondit en larmes, entoura son cou de ses bras, et lui dit en pleurant que cela avait été plus fort que lui.

Elle lui caressa la tête en disant :

— Pauvre garçon ! Pauvre garçon !

Il releva alors la tête pour se faire embrasser ; elle se mit aussi à pleurer et ils mêlèrent leurs larmes et leurs caresses, ce qui rendit presque immédiatement à sa pine sa première raideur. Il renversa sa mère sur le dos, et malgré une faible résistance, prétendant qu’il était affreux de vouloir recommencer un pareil crime, elle écarta les cuisses quand il se mit sur elle et ne l’empêcha pas de relever ses jupes.

Il entra cette fois-ci très aisément dans son con avide et tout mouillé, car ses passions l’avaient rendue extrêmement lubrique.

Il la foutit encore trois fois, chaque fois avec plus de délices les unes que les autres, secondé par les magnifiques trémoussements du cul de sa