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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/254

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écartées, tenant le pot moitié entre mes cuisses et moitié dessous, de sorte qu’il pouvait admirablement voir tout mon con ainsi que le flot d’urine qui s’en échappait.

« Il resta stupéfié d’étonnement ; c’était réellement la première fois qu’il avait connaissance qu’une femme était faite différemment d’un homme dans cette partie.

« — Comme c’est drôle ! s’écria-t-il, tu pisses par une fente et tu n’as pas de quéquette ; je voudrais bien voir cela de plus près.

« Je lui dis que j’allais m’étendre à la renverse sur le lit et qu’il pourrait regarder autant qu’il voudrait, mais qu’il ne devait jamais dire à personne ce qu’il aurait vu, parce que c’était un grand secret.

« Il promit naturellement. Je m’étendis sur le dos, ayant d’abord enlevé ma chemise, j’écartai bien les cuisses, lui disant qu’il pourrait mieux voir en s’agenouillant entre mes jambes à une petite distance de l’objet qu’il voulait voir.

« Il se leva et commença un sérieux examen, admirant la quantité immense de poils que j’avais déjà, il ouvrit les lèvres, caressa ce qu’il appelait ma petite quéquette (mon clitoris) qui bandait de désirs. Je lui dis de toucher l’intérieur avec son doigt du milieu ; il le poussa dedans, et à son grand étonnement je le serrai tellement qu’il eut de la peine à le retirer. La nature joua alors son rôle ; sa pine qui était devenue toute molle après