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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/40

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Ma tante crut un moment que c’était à elle qu’Ellen faisait allusion, car on doit se rappeler qu’elle s’imaginait avoir eu ma virginité.

— Qu’est-ce que vous entendez par là ? J’insiste pour que vous donniez des explications plus précises.

Ellen consentit disant que c’était Mme Dale qui m’avait eu la première, ajoutant :

— Elle avait vu par hasard comment Charles était supérieurement membré et n’avait pu résister au plaisir de lui apprendre à se servir de ce formidable pieu. Je les ai vus faire et c’est alors que je suis devenue moi-même avide de le posséder.

— Regardez, chère madame, comme il est beau ! Je suis sûre que si vous l’aviez connu aussi auparavant, vous n’auriez pu résister au désir de le posséder, essayez-en encore une fois et je suis sûre que vous nous pardonnerez et partagerez nos jouissances.

J’appuyai aussi ce bon avis ; ma tante parut effrayée de moi et sauta sur le lit. J’y sautai aussi, et l’attrapant autour de la taille, pendant qu’elle était sur ses mains et ses genoux, je la maintins dans cette position jusqu’au moment où m’agenouillant à mon tour derrière elle j’approchai ma pine pour la faire entrer en jeu. Tout en ayant l’air de résister, elle sut cependant se mouvoir assez habilement pour faciliter plutôt que pour empêcher l’introduction ; naturellement elle fut enfilée de suite, mais je restai immobile quelques minutes pour la laisser jouir de cette rapide introduction