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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/50

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la première nuit et qu’alors il l’aiderait de tous ses efforts.

Le malin pasteur se proposait bien, quand Henry aurait réussi, de devenir le futur compagnon de leurs débauches incestueuses. La chambre à coucher d’Henry était fermée par un de ces vieux loquets de fer qu’on clouait à la porte. Mme Dale l’enfermait quand il s’était mis au lit. Henry remarqua tout cela et sourit en pensant qu’il pourrait facilement sortir, mais comme il avait promis au pasteur de ne rien tenter sur sa mère cette nuit-là, il se coucha et s’endormit profondément.

La nuit suivante il fut convenu entre lui et le pasteur que, par des gamahuchages et des branlages, le pasteur amènerait sa mère à un grand degré d’excitement sans la satisfaire entièrement, de manière à ce que ses passions l’obligent à se faire foutre par n’importe quelle pine. À cet effet, le pasteur devait la garder avec lui jusqu’à la nuit. Henry épiait par le trou de la serrure, et dès qu’il vit sa mère entrer dans la chambre du pasteur, il fit jouer le loquet, ouvrit la porte et la referma. Il était prêt à tout événement, et si sa mère était étonnée de son entrée, il pourrait dire qu’il avait trouvé la porte ouverte, qu’elle avait sans doute oublié de la fermer. Il regarda alors tout ce qui se passa entre le pasteur et sa mère, puis, quand sa mère regagna son propre lit, il rentra dans sa chambre dont la porte resta légèrement entr’ouverte, il entendait sa mère se mettre sur le vase, et par la force du jet d’eau, il put juger qu’elle