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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/55

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lèvres, et je profitai du moment où je venais de la faire décharger pour enlever tous les obstacles d’une seule poussée vigoureuse et l’affaire fut faite. Elle jeta un cri, car cela lui fit grand mal, mais comme la porte était fermée tu n’as rien entendu. Je la laissai ensuite reposer et ne recommençai que le lendemain matin. La nuit suivante nous assistâmes encore à tes combats amoureux. Ellen n’avait plus mal et nous répétâmes ton exemple sept fois dans la nuit. Encore aujourd’hui elle ne peut croire aux proportions gigantesques de Charles et se demande comment tu peux t’introduire un pareil morceau. Mais, oh ! ma chère maman, si tu savais comme mes passions sont excitées par tes charmes ravissants ! Qu’est Ellen en comparaison de toi ? Elle fut assez bonne pour soulager mon envie de te posséder, quand je vis que tu étais trop occupée ailleurs, mais c’est tout. C’est toi, et toi seule, ma maman chérie, que j’adore, et j’ai un désir sauvage de posséder ce cher et magnifique con que je caresse en ce moment.

Mme Dale fut absolument abasourdie à ce récit.

— Abominable garçon, comment as-tu osé me suivre, espionner ta mère et surtout mettre Ellen dans le secret ? Sans doute, vous avez dû vous vanter de cela et le dire à d’autres.

— Non vraiment, maman, Ellen et moi nous avons fait le serment de ne jamais révéler à âme qui vive ce que nous venions de voir ; aussi, maman chérie, tu vois que tu peux avoir pleine confiance