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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/75

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fois nous en mettions une entre nous deux pour la foutre des deux côtés en même temps. Quand les classes recommencèrent, madame Dale et Ellen vinrent tous les dimanches dîner et coucher au presbytère, et alors nous faisions une orgie générale dans de grandes largeurs.

Cela continua jusqu’aux vacances de l’été, quand je dus quitter le presbytère pour le collège royal. Les grossesses de madame Dale et d’Ellen devenaient de plus en plus visibles à mesure que le terme de la délivrance approchait. Nous eûmes avec mon oncle de longues discussions pour savoir ce qu’il y avait de mieux à faire. À la fin, il fut décidé qu’elles quitteraient la villa pour faire un tour sur le continent, mais qu’en réalité elles s’arrêteraient à Paris, prendraient des appartements dans la maison d’une bonne accoucheuse des environs où elles resteraient jusqu’à l’époque de leurs délivrances. Il n’était pas nécessaire pour elles de partir avant la fin des études, de sorte que le pasteur, Henry et moi, nous puissions les accompagner ; je ne mettais pas en doute d’obtenir de mon tuteur, après lui avoir fait une visite à Londres, l’autorisation et les subsides nécessaires pour visiter le continent jusqu’au milieu d’octobre, époque à laquelle les classes devaient recommencer. Tout arriva comme nous avions décidé ; les grossesses purent être dissimulées grâce aux robes larges et lâches.

Notre voyage se passa très bien ; nous découvrîmes dans les environs une très bonne accou-