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Page:Le vol sans battement.pdf/111

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L’ŒUVRE IGNORÉE DE L.-P. MOUILLARD

comme vitesse ? Chanute ajoute : « Il serait bien intéressant d’établir l’a vraie vitesse posible. »


Et page 382, à la fin de cet article, Chanute donne un renseignement :

« On peut dire de plus que les seuls résultats favorables, obtenus par des appareils pouvant soutenir le poids d’un homme, ont été obtenus avec des appareils de planement. On peut citer Dante, Guidotte, Le Bris, Mouillard, Lilienthal, Montgomery, Ader, etc., etc… »

À la fin de l’article « Soupape de ballon », page 395, il écrit :

« Très bien, on devrait l’expérimenter. »

À la dernière ligne de l’article Parachute, il ajoute :

« L’idée est ingénieuse et pourrait être brevetée. Reste à savoir si elle rapporterait de l’argent. On pourrait vendre le brevet à un aéronaute d’e profession, s’il n’y a pas de difficultés à… (mot illisible) l’appareil contre la pression produite par l’escension. »


Dans la Troisième Partie :


À la fin de l’article Aphorismes, Mouillard faisant la remarque que, pour ne pas être effrayé par la vitesse dans les essais de planement, il convient d’employer des appareils de grande surface, Chanute critique ce point de vue en disant :

« Vitesse décourageante, étant bien moins que celle des chemins de fer. »

À la première ligne de l’article Arrêt de pénétration, page 415, Mouillard employant l’expression « Absence de traînement », Chanute interroge :

Cela veut-il dire friction ou résistance ?