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Page:Leblanc - La Pitié, 1912.djvu/16

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LA PITIÉ

Jacques.

Moi non plus…

Marie-Anne.

Mais il est dix heures, et, à partir de dix heures, on a le droit d’entrer dans votre cabinet de travail et de vous déranger. J’entre.

(Elle lui tend son front).
Jacques, tout en continuant de chercher.

Bonjour, petite cousine. Déjà réveillée ?

Marie-Anne.

Oh ! il y a longtemps.

Jacques.

Et que fais-tu ?

Marie-Anne.

Je sors avec Germaine… Dites donc ?

Jacques.

Quoi ?

Marie-Anne.

Germaine a pleuré ce matin.

Jacques.

Ah !

Marie-Anne.

Oui, elle n’avait pas de lettre de sa grand’mère… Jacques ?

Jacques.

Marie-Anne ?