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Page:Leblanc - La Pitié, 1912.djvu/61

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LA PITIÉ

Jacques.

À merveille. Avant dix minutes, l’orage.

Robert, s’enfuyant.

Voilà… voilà…

(Un temps).
Marie-Anne.

Deux avantages. Jeu et partie ! Décidément, vous n’êtes pas de force… Et vous, Jacques, vous ne jouez pas ?

(Elle surgit à la première fenêtre).
Jacques.

Le tennis, ça n’est plus de mon âge.

Robert, la rejoignant.

Insolent ! Et moi ?

Jacques.

Oh ! toi, tu rajeunis tous les jours depuis quinze jours

Marie-Anne.

Jouons à ce que vous voulez. J’ai installé un jeu de golf en réduction au bord de l’eau.

Robert.

Un petit golf au bord d’un petit lac.