Page:Leblanc - Les Lèvres jointes, paru dans Le Journal et La Lanterne, 1897-1901.djvu/108

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Et voilà comment se firent nos secondes fiançailles. L’avenir me consolera de mon triste passé. Je suis fier de celle qui va porter mon nom. J’épouse une femme qui a rempli ses devoirs envers elle et ses devoirs envers les autres.