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Page:Leconte de Lisle - Œuvres, Poèmes tragiques.djvu/61

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LE TALION.


Qu’ils râlent, engloutis sous leurs palais fumants !
Et vous, ô morts d’hier, et vous, vieilles victimes,
Dans la nuit furieuse, avec des hurlements,
Pourchassez-les parmi les épouvantements
      Éternels de leurs crimes !