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Page:Leconte de Lisle - Derniers Poèmes, 1895.djvu/139

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DEUXIÈME PARTIE.

Qui frémit, que le matin dore,
Ne suivront plus dans l’air sonore
Le vol des sauvages ramiers ;
Et jamais plus, dans les halliers
Que parfume l’odeur des sèves.
Nous ne charmerons tes doux rêves !


TROISIÈME ORÉADE.
ÉPÔDE.

Puisque tu vas quitter le saint Temple et les bois
Et la Source qui flue aux Roches Pythiades,
Salut ! et que le chœur dansant des Oréades
Réjouisse tes yeux une dernière fois !

Danses.