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Page:Leconte de Lisle - Derniers Poèmes, 1895.djvu/38

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Ô Filles de Thétis, gardez-nous des nuits noires,
Des écueils embusqués le long des promontoires,
Du Notos, tourmenteur de la divine Mer,
Par qui nefs et marins plongent au gouffre amer,
Et, propices toujours, que vos fraîches haleines
Jusqu’au port désiré gonflent nos voiles pleines.